S’agissant d’une photographie à un instant donné, toute décision salariale, de promotion ou d’augmentation prise par l’entreprise aura immédiatement un impact qui pourra être plus ou moins significatif sur l’Index. Ces décisions, auront, dans tous les cas un impact sur l’évolution de la note, qui pourra en être améliorée ou au contraire être revue à la baisse par le législateur.

Une entreprise qui a obtenu 88 points aujourd’hui peut voir son résultat dégringoler d’une année sur l’autre. Pour assister à la chute d’un bon résultat d’Index, il suffirait que l’entreprise n’ait pas mis en place une augmentation spécifique, une mesure imposée de rattrapage, ou encore une mesure autour des évolutions de carrière des femmes comme celles mises en place dans certaines entreprises répondant à des contextes particuliers. Il suffit ainsi que l’année suivante, une mesure en particulier disparaisse pour totalement déstabiliser le résultat de l’Index.

Les entreprises doivent ainsi de se montrer vigilantes, pas uniquement la veille du 1er mars ni un mois avant la publication de l’Index, mais bien tout au long de l’année. C’est uniquement à cette condition qu’elles parviendront à orienter leur politique salariale vers une meilleure appréhension de l’impact de l’Index de l’égalité femmes-hommes.

Ainsi, en considérant les différentes possibilités d’amélioration de leur note et les mesures à prendre concrètement pour la favoriser, elles se poseront naturellement les bonnes questions afin de réduire sincèrement les disparités entre les femmes et les hommes : choix du budget, des dispositions ou encore de la population nécessitant une attention particulière.

Aujourd’hui, Alixio a la capacité d’apporter aux entreprises beaucoup plus d’éléments de diagnostics afin d’identifier les écarts réels de rémunération.

Notre rôle est d’informer les entreprises sur les éléments influençant la note finale présentée par l’Index.

Par Alixio

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